Vieillit-on plus vite aujourd'hui ? - MyPureSkin

Vieillit-on plus vite aujourd'hui ?

Vieillit-on plus vite aujourd'hui ?

8.5 ans sur les 40 dernières années : c'est l'augmentation moyenne de l'espérance de vie en Suisse rapportée par l'OCDE dans le cadre d'une étude sur le vieillissement des populations de ses pays membres (1).
Toutefois, il semblerait que l'on entende de plus en plus les mots "cancers", "maladies chroniques" ou encore de "facteurs de comorbidité accrue".
Si l'étirement de la durée du troisième âge est clairement positif, il est donc plus intéressant de se demander dans quelles conditions cette évolution s'est produite.
En d'autres termes : la qualité de vie d'un senior dans la Confédération Helvétique d'aujourd'hui est-elle la même qu'il y 40, 50 ou 100 ans ? Et, à cet égard, son état de santé a-t-il suivi cette tendance ?
Et, plus important encore, est-il possible de prévenir l'apparition de maladies qui semblent nouvelles ?

Non, nous ne vieillissons pas de la même façon aujourd'hui

Il faut tout d'abord mitiger pour apprécier les chiffres disponibles. Grâce aux progrès de la Science, la population vit aujourd'hui plus vieille que jamais. Si les carcinomes et autre cancer ont toujours existé, ils sont beaucoup plus courants aujourd'hui pour deux raisons :

  • La qualité de l'air, de l'eau et de la nourriture n'a pas nécessairement augmenté;
  • L'omniprésence d'additifs alimentaires (consommables normalement de façon ponctuelle et à petites doses) devient problématique au regard des problèmes de santé publique que leur surabsorption engendre. Cela s'explique par la généralisation de l'accessibilité d'une nourriture industrielle de faible qualité mais à coût très modéré;
  • Certaines des maladies en question apparaissent en réalité plus progressivement et l'augmentation de l'espérance de vie ne se révèle être qu'un mirroir déformant, rendant ces problèmes plus visibles.

C'est le troisième point que l'on oublie parfois de mentionner pour évaluer l'évolution de l'état de santé des séniors.

Une vie plus longue et des progrès scientifiques très récents

Bien que la sénescence soit un phénomène étudié depuis des milliers d'années, les récents acquis de la Science et des technisciences ont permis à la médecine de faire des bonds considérables sur les 50 dernières années.
En effet, le vieillissement de la population mondiale devenant un moteur de recherche puissant, c'est au détour d'études telles que celle publiée en 2012 par Sahdeo Prasad et ses collaborateurs (2) que l'on saisit mieux le problème.
Dans ses conclusions, Prasad présente de nombreuses inflammations chroniques (notamment cutanées) et des problèmes systémiques (problèmes cardio-vasculaires, diabète, syndrôme d'Alzheimer...) comme liés intrinséquement au processus de vieillissement.
Dès lors, le déploiement de solutions prolongeant la vie en diminuant les dysfonctionnement liés à ces problèmes de santé doit aller de pair avec une attitude préventive.
C'est ce que l'on comprend à la lecture de son compte-rendu qui met en avant le facteur nutritionnel et les piliers d'un style de vie actif pour rester sain(e).

Des critères socio-culturels en pleine transformation

Par ailleurs, on perçoit très différemment le statut et la vie attendus pour un(e) senior aujourd'hui, par rapport au siècle dernier.
En effet, on voit de plus en plus la soixantaine comme une période riche durant laquelle les individus s'attèlent aux activités qu'ils n'ont pas eu l'occasion d'explorer jusque-là.
La transition progressive des jeunes adultes, puis adultes, se fait beaucoup plus lentement. Cela signifie aussi que les cinquantenaires et soixantenaires restent exposés à des facteurs de vieillissement plus longtemps.
Stress psychologique, contraintes sociales et indépendance continuent de présider au quotidien des aînés.
Ces transformations socio-culturelles repoussent l'accès au "troisième âge" et à la suppression des facteurs de vieillissement supposés.
Mais d'ailleurs, quels sont-ils, ces facteurs ?

Non, nous ne vieillissons pas dans un cadre identique

La qualité de l'air, de l'eau et de la nourriture que nous consommons a toujours été un facteur de vieillissement mais c'est la recherche scientifique qui a permis de quantifier l'impact de ces éléments sur la façon dont nous vieillissons.
Par ailleurs, ledit environnement, justement, a beaucoup changé sur les 100 dernières années.
Il faut en effet noter que l'explosion démographique à l'issue de la seconde guerre mondiale a conduit à un accroissement considérable de la consommation, lui-même appelant à une accélération de la production.
Les rejets industriels qui en découlent ont nécessairement transformé l'air, l'eau et les sols de telle sorte que notre corps s'en est retrouvé impacté.
Difficile, dans de telles conditions, de comparer nos "modes de vieillissement" avec ceux de nos aïeux. La vérité est que nous ne vivons pas dans le même cadre et que, en ce sens, les points de repère doivent être choisis avec soin.

Une amélioration des diagnostics et une perception nouvelle des pathologies

De moins en moins fataliste, la médecine a évolué depuis ses débuts pour explorer des problèmes mal compris et y trouver des solutions ou au moins des palliatifs.
Paradoxalement, c'est cette attitude proactive qui pousse aujourd'hui les collectivités à considérer comme un "échec" les difficultés à traiter des problèmes de santé jusqu'ici inconnus.
En effet, l'amélioration de la fiabilité des diagnostics, la réactivité croissante des outils et connaissances à la disposition du corps médical et le perfectionnement des techniques de traitement sont autant d'éléments qui rendent la comparaison difficile.
Toutefois, il est notable que les facteurs de sénescence et, pire, d'apparition de maladies chroniques, ont augmenté.

Des perturbateurs endocriniens qui ont la peau dure

Considérés par le corps médical comme l'un des "fléaux" du 21ème siècle, les perturbateurs endocriniens ont ceci de problématiques qu'ils impactent un grand nombre de processus physiologiques, y compris ceux impliqués dans le processus de vieillissement.
C'est ce que révèlent des études telles que celle de Liuqing Yang et de son équipe (3) qui, en 2020, met en lumière l'impact des perturbateurs endocriniens dans le vieillissement cellulaire ovarien.
Le système hormonal dépend fortement du bon fonctionnement des ovaires et il se retrouve, à ce titre, en proie à divers dysfonctionnements.
Malheureusement, les dommages ne s'arrêtent pas là puisque l'on découvre dans une étude publiée en 2018 par Veena Taneja que la réponse immunitaire est liée aux hormones (4).
Dans la mesure où le système immunitaire joue un rôle central dans les maladies auto-immunes, les perturbateurs endocriniens sont indirectement responsables du processus de vieillissement prématuré.

Des "PFAS" dont on commence à peine à parler

Plus difficile à saisir encore dans le processus de vieillissement : l'impact des PFAS commence à peine à être étudé (PFAS désigne un groupe de molécules de synthèse, issues de l'industrie des matériaux, retrouvées par exemple dans les plastiques et absorbées involontairement par contact avec de la nourriture).
Une étude publiée en 2023 par C. Chaney et K.S. Wiley (5) met en effet l'extrême variabilité du processus de vieillissement chez les hommes et femmes, en fonction de différents facteurs lors d'une exposition prolongée aux PFAS.
Sachant que la diffusion de ces molécules à l'échelle planétaire est désormais un fait acquis, il est d'autant plus difficile de comparer les raisons et les conditions de vieillissement d'aujourd'hui par rapport au siècle dernier.

Oui, il existe des solutions pour prendre soin de vous en vieillissant

Fort heureusement, face à une telle incertitude, il existe des lieux communs bien assurés, sur lesquels la recherche scientifique peut construire.
Les stratégies de "réparation naturelle", par exemple, déployées par notre organisme offrent des moyens simples pour mitiger les problèmes "de modernité" auxquels notre peau est exposée.
Ils tiennent en trois conseils simples :

  • Dormir correctement (quantité et qualité suffisantes);
  • Pratiquer un exercice physique régulier;
  • Bénéficier d'une nutrition adaptée.

Ce dernièr point se révèle malheureusement délicat pour certain(e)s dans la mesure où le temps reste une denrée rare.

Préparer un plat dont les qualités nutritionnelles sont optimales peut donc relever parfois de l'impossible.

Fort heureusement, la Science offre désormais les moyens de mettre la formule d'une "nutrition de qualité" en bouteille.

Les 3 piliers d'une nutrition adaptée au vieillissement contemporain

Il est plus important que jamais de savoir identifier les critères nécessaires à la composition d'une solution de nutrition adaptée aux problèmes modernes. Les 3 pilliers en sont :

  • Une action de détoxification;
  • Un apport en nutriments essentiels;
  • Un effet de protection antioxydante, déglycante et antiglycante.

En vous munissant d'une combinaison de principes actifs capables de détoxifier votre organisme, vous vous donnez les moyens de vous protéger contre les inflammations chroniques et les problèmes de peau qui s'y attachent.

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En mobilisant des ingrédients neutralisant les radicaux libres, vous conservez autant que faire se peut l'intégrité structurelle de votre peau.


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Détoxifier l'organisme

Nourrir l'organisme

Protéger l'organisme

  1. Compte-rendu de l'OCDE sur l'activité des personnes âgées : https://dam-api.bfs.admin.ch/hub/api/dam/assets/5046992/master
  2. Recherches de Prasad sur la nécessité d'une médecine "orientée senior" et les raisons qui l'expliquent pour traiter et prévenir les maladies chroniques : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3340492/
  3. Exploration du rôle du stress oxydatif et des antioxydants naturels dans le vieillissement des ovaires : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33569007/
  4. Mise en lumière du rôle des hormones sexuelles dans l'apparition de la réponse immunitaire : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6119719/
  5. Relations ambigües entre PFAS et vieillissement : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935123005066