Chardon-marie et détox : une plante au cœur de la formule de MyCollagenRepair - MyPureSkin

Chardon-marie et détox : une plante au cœur de la formule de MyCollagenRepair

Plus qu’un simple nutricosmétique améliorant votre récupération physique, MyCollagenRepair est une très astucieuse combinaison de principes actifs respectueux de votre santé.
Combinant des ingrédients d’origine naturelle, ce complément alimentaire signé MyPureSkin vous offre des bénéfices beauté et santé au vaste spectre.
Contribution aux performances sportives, amélioration de l’homogénéité de la peau, atténuation des rides et ridules… MyCollagenRepair permet de profiter à tout âge des bienfaits de plantes au potentiel sous-estimé, comme le chardon-marie.
Quelles propriétés a justement cette herbe rarement utilisée dans l’industrie ? Pourquoi avons-nous choisi de l’intégrer à la formule de MyCollagenRepair ?
Quels bienfaits pouvez-vous attendre d’une cure à base de chardon-marie avec un complément alimentaire tel que MyCollagenRepair ?
MyPureSkin vous explique les étonnants effets d’une plante méconnue et comment en profiter.

Le chardon-marie : quel intérêt ?

Tirant son nom d’une légende d’ordre religieux, le chardon-marie se reconnaît aisément grâce à ses feuilles épineuses présentant un aspect satiné et aux nervures blanches caractéristiques.

Un usage gastronomique et médicinal depuis des siècles

Employé en cuisine par les Européens qui lui reconnaissent dès le Moyen- ge des effets bénéfiques pour le maintien de la fonction hépatique, le chardon-marie est déjà connu dans l’antiquité égyptienne.
L’utilité qu’on lui prête alors pour prendre soin du foie est assez proche de la réalité, comme le confirment des découvertes scientifiques plus récentes.

La silymarine : un principe actif central dans l’efficacité du chardon-marie

Isolée pour la première fois en 1968, la silymarine est le principe actif principal du chardon-marie. Cette molécule aux multiples bienfaits est de plus en plus étudiée pour la mise au point de traitements divers.
L’une des initiatives les plus récentes et les plus représentatives concerne une méta-analyse publiée en 2022 (1) par l’équipe de Seyyed Amir Emadi.
Axée sur le vaste potentiel thérapeutique du chardon-marie et de son consitutant clé dans le cadre des traitements contre le cancer, cette étude met en lumière le large spectre d’action de la silymarine.

Les étonnantes propriétés de la silymarine, méconnues du grand public

Peu médiatisé, le chardon-marie ne se retrouve que rarement dans la composition des compléments alimentaires ciblant la récupération physique ou même dans les formules anti-âge.
Cela s’explique par l’avant-garde nécessaire dans la mobilisation de ses propriétés, que seules quelques marques pour le moment ont su déployer, à l’image de MyPureSkin.
Dans la revue de Emadi et ses collaborateurs, on retrouve quelques-unes de ses vertus, entre autres :

  • Des effets anti-diabétiques;
  • Des effets anti-hypertenseurs;
  • Des effets hépato-protecteurs;
  • Des effets antioxydants.

La silymarine : un principe actif au vaste spectre d'action

Mais le plus étonnant reste certainement le rôle que cette molécule joue dans les circuits d’activation de certains processus métaboliques de la cellule.
Comme le rappellent les conclusions d’une étude publiée en 2019 par David Schröter et Annika Höhn (2), le risque d’apparition de cancers lors du processus de vieillissement augmente progressivement.
En outre, les chances de développer des inflammations chroniques affectant la peau et les processus en jeu dans la récupération physique suivent la même tendance avec l’âge.
À cet égard, la silymarine se révèle très efficace dans une synergie avec d’autres principes actifs dans la prévention oncologique et dans celle de diverses affections cutanées.
Mais comment l’expliquer ?

Alimentation équilibrée et sport : quels moyens pour lutter contre les molécules AGEs à l’assaut de votre corps ?

Au-delà de ses bienfaits pour la conservation de votre masse musculaire ou encore de l’élasticité de vos articulations, l’activité physique est essentielle pour l’entretien de votre organisme.
En effet un sport, même pratiqué modérément mais de façon régulière, a des conséquences positives sur divers aspects de votre métabolisme cellulaire.
Pour le comprendre, il faut s’intéresser à la composition des protéines de votre organisme, éléments de base de chacun de vos organes, à commencer par vos muscles et votre peau.
Les protéines telles que le collagène, qui structurent ces derniers, sont composées d’acides aminés. Leur récupération depuis votre environnement passe par l’alimentation car votre organisme est incapable de les produire par lui-même.
Ainsi, lorsque vous cuisinez à la poëlle, la chaleur diffusée dans les aliments crus vous permet de détruire les agents pathogènes et de commencer le processus de décomposition des protéines en acides aminés. Toutefois, cette action déclenche également une réaction chimique qui porte un surnom bien connu : la caramélisation.
Tombant dans la catégorie des “réactions de Maillard”, ce processus se caractérise entre autres par l’apparition de traces noires sur votre viande lorsque la cuisson est prolongée.

Les AGEs : des molécules cancérigènes

À un échelle moléculaire, cela traduit l’altération des molécules composant vos aliments (notamment les acides aminés) par une association avec d’autres molécules.
Si cette combinaison explique la couleur brunâtre du beurre ainsi que les mariages de saveurs et d’odeurs d’une cuisine que beaucoup savent apprécier, elle est également délétère pour l’intégrité de l’organisme.
En effet, à l’issue d’une réaction de Maillard, les aliments consommés contiennent des molécules cancérigènes : les produits terminaux de glycation avancée (ou “AGEs” pour Advanced Glycation End products).

L’omniprésence des molécules AGEs dans le monde contemporain

L’étude de Schröter met justement en lumière les mécanismes responsables de l’élévation du risque de cancer en expliquant le rôle des molécules AGEs.
Des recherches aux conclusions similaires, publiées en 2020 par l’équipe de Omonefe O. Omofuma (3) et ses collaborateurs élargissent par ailleurs la responsabilité de ces molécules.
Comme le signale cette dernière étude, les AGEs sont consommés trop fréquemment au travers d’une alimentation trop déséquilibréé, ce qui mène à un dérèglement du métabolisme cellulaire.
Omofuma explique dans son compte-rendu que le cancer n’est par ailleurs pas la seule conséquence courante de ce choix de vie.
Maladie d’Alzheimer, maladies cardio-vasculaires, dermatite atopique… Des muscles à la peau, en passant par les circuits de production d’énergie par la cellule (sous forme d’ATP), les produits de la glycation semblent être omniprésents.
C’est entre autres ce constat qui a mené aux conclusions d’une étude publiée en 2020 par l’équipe de Ji Yeon Hong (4) : les molécules AGEs seraient un marqueur des comorbidités.

Le rôle de l’alimentation et du sport et leurs limites dans la régulation de la glycation

Malheureusement, l’alimentation n’est pas la seule fautive. C’est l’action conjointe d’une alimentation moderne trop riche mais également d’un mode de vie trop peu adapté qui mène à la présence de trop d’AGEs.
Le stress, le manque de sommeil, un sport pratiqué de façon incorrecte, la pollution de l’air sont autant de facteurs qui concourrent à leur production au sein de l’organisme.
Cela s’explique par le décalage entre la vitesse à laquelle ont évolué nos modes de vie sur les deux derniers millénaires et celle à laquelle nous évoluons biologiquement.
La prise, notamment, de sucres rapides et le manque de considération pour vos fenêtres de récupération contribuent lors d’un exercice physique contribuent au processus de glycation.
Par ailleurs, si la pratique régulière d’un sport est utile pour brûler les sucres (impliqués dans les réactions de glycation au sein de l’organisme), son effet positif reste limité en ce qui concerne la palliation des réactions de glycation dans l’organisme.
C’est ce qu’ont mis en lumière les résultats d’une étude publiée en 2019 (5) par Joachim Nymann Hjerrild et son équipe, s’intéressant au cas de la glycation cutanée.
Plus problématique encore, cette étude soulève un point important : la régulation du régime alimentaire, en termes d’équilibre, n’aurait pas non plus d’effet significatif sur l’atténuation du processus de glycation.

Consommer du chardon-marie pour construire un mode d’alimentation “détox”

C’est pourquoi le recours à des ingrédients n’entrant pas des régimes alimentaires classiques fait sens.
Aux côtés d’études aux conclusions similaires, les recherches de Chi-Hao Wu (6) ont permis de mettre en lumière l’intérêt direct de la consommation de silymarine (extraite de chardon-marie).
On y apprend entre autres que la présence de silymarine réduit la concentration de molécules AGEs dans les tissus mais que cela permet aussi de diminuer la concentration dans le sang d’albumine glyquée.
Malheureusement, le déploiement de la solution de Chi-Hao Wu n’est pas forcément à la portée de toutes et tous.
En effet, la biodisponibilité de la silymarine dans un bol alimentaire passe par la cuisine du chardon-marie. De ce fait, la biodisponibilité de ce principe actif diminue à la fois durant la préparation des plats et durant le processus de digestion.
En d’autres termes : bénéficier réellement des bienfaits de la silymarine demande la mise en place d’une nutrition ciblée, allant au-delà d’une simple consommation de chardon-marie.
C’est en comprenant le potentiel de ce principe actif pour améliorer votre bien-être au quotidien que quelques rares marques de nutricosmétique, à l’image de MyPureSkin, ont décidé de composer des formules à base de silymarine.

Récupération physique et la protection contre la glycation : un complément alimentaire comme solution

Illustrant parfaitement la maxime de MyPureSkin “la Science et la nature au cœur de ses formules”, MyCollagenRepair est un complément alimentaire innovant.
En combinant de la pipérine (principe actif du poivre noir), ce nutricosmétique résoud le problème de biodisponibilité de la silymarine.
Cette initiative ne se base pas sur de la spéculation mais sur une compréhension intime des propriétés de ces ingrédients, basée sur des études telles que celle, très récente (2023), publiée par Tanya Ralli et son équipe (7).
Ces recherches ont en effet permis de mettre en lumière à la fois :

  • La mise à disposition accrue à l’organisme de la silymarine consommée lorsqu’elle est combinée à de la pipérine;
  • L’effet synergique (conjoint) de ces principes actifs, offrant une réponse physiologique significativement plus notable.

En outre, l’étendue de l’expertise de MyPureSkin vous offre un autre gage important : celui de savoir quels résultats attendre de ses compléments alimentaires.

En quoi MyCollagenRepair accroît la récupération physique ?

Pour comprendre une partie des bienfaits de MyCollagenRepair, notamment en ce qui concerne la récupération physique, il suffit de se reporter aux résultats d’études telles que celles de Nancy Vargas-Mendoza et de son équipe, publiée en 2020 (8).
Comme le relève la chercheuse, la silymarine contribue à améliorer le processus de reconstruction à l’issue d’un effort physique (notamment les quadriceps et le muscle du cœur).
Une supplémentation de silymarine concomittante à une pratique sportive régulière permet entre autres d’améliorer le remodelage du corps sur une durée assez courte (8 semaines).
Ce processus couvre à la fois le changement de composition des tissus soumis à l’effort (rapport muscle / graisse notamment) et l’amélioration de la qualité et la taille des fibres après reconstruction (augmentant ainsi la force musculaire disponible après la récupération).
Au regard des études mentionnées précédemment, MyCollagenRepair permet également de réduire les molécules AGEs, ce qui contribue à :

  • Réduire les risques de dérèglements cellulaires prématurés (qui conduiraient à une exposition plus importante au risque de cancers);
  • Homogénéiser les tissus cutanés (contribuant à améliorer la qualité de la peau);
  • Accompagner les mécanismes d’entretien de la mitochondrie au sein des cellules (contribuant à préserver l’efficacité du processus de production d’énergie, conduitant à une meilleure vitalité).

Toutefois, MyCollagenRepair, c’est encore bien plus.

MyCollagenRepair : un complément alimentaire premium détox

Centrée sur la récupération sportive et la protection contre la glycation et l’oxydation, MyCollagenRepair contribue également à la protection de l’organisme contre les facteurs de vieillissement prématuré.
Cela devient évident à la lecture de la composition de sa formule qui comprend :

  • Des peptides de collagène marin dont la haute biodisponibilité contribue à recontruire vos muscles et à conserver une peau jeune plus longtemps (en réduisant les rides et ridules);
  • De l’acide hyaluronique dont la capacité à porter près de 1000 fois son poids en eau permet d’améliorer le niveau d’hydratation de votre organisme (notamment de votre peau);
  • Des vitamines C et E dont les propriétés antioxydantes en font des alliés précieux contre les radicaux libres (créant du stress oxydatif, lui-même source de vieillissement prématuré);
  • De la SOD (SuperOxyde Dismutase) dont la présence parachève le parapluie antioxydant des ingrédients de MyCollagenRepair;
  • De la biopérine, agissant en synergie avec la silymarine;
  • De la silymarine extraite de chardon-marie;
  • De l’acide rosmarinique, dont les propriétés déglycantes fonctionnent en aval des bienfaits antiglycants de la silymarine (qui se place en amont du processus de glycation);
  • De la coenzyme Q10 contribuant à préserver les circuits de production d’énergie cellulaire pour améliorer votre vitalité avant, pendant et après l’effort.

Reposant sur des ingrédients à l’origine 100% naturelle, la formule de MyCollagenRepair trouve sa place idéale dans une routine bien-être quotidienne intégrant un exercice physique régulier.

Vous êtes à la recherche d’un allié pour vous accompagner dans cette optique ? Faîtes un choix qui a du sens : commenez votre cure de MyCollagenRepair.

  1. Méta-analyse de Emadi et son équipe sur le potentiel thérapeutique du chardon-marie et de la silymarine : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9588316/
  2. Étude explorant le rôle des produits terminaux de glycation avancée dans la genèse des cancers et leurs implications thérapeutiques : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6635609/
  3. Recherches de Omofuma rendant compte du vaste spectre oncologique des molécules AGEs : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7335328/
  4. Étude de Ji Yeon Hong sur le rôle des molécules AGEs en tant que facteur significatif de comorbidité dans l’exemple de la dermatite atopique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32767581/
  5. Évaluation des effets de long terme d’une activité physique et d’une régulation du régime alimentaire sur la glycation de la peau : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6627972/
  6. Recherches de Chi-Hao Wu sur les propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-glycantes de la silymarine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20578796/
  7. Mise en évidence de l’augmentation de la biodisponibilité de la silymarine par la combinaison de pipérine et d’acide fulvique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37342048/
  8. Évaluation par Vargas-Mendoza des effets d’une supplémentation de silymarine sur un organisme soumis à un exercice physique régulier : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7590064/