De la nutrition à la nutricosmétique : l'épigénétique permettrait-elle de "mieux vieillir" ? - MyPureSkin SA

De la nutrition à la nutricosmétique : l'épigénétique permettrait-elle de "mieux vieillir" ?

Si les rides et la perte d’hydratation de la peau sont vues comme les signes les plus évidents de l’âge, elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg du vieillissement.

Conséquences de transformations se produisant à l’échelle moléculaire, la perte de souplesse et de fermeté de la peau varient d’un individu à l’autre.

Parmi les éléments expliquant cette inégalité, l’épigénétique arrive en tête de liste.

Approche complexe reposant sur de nombreux facteurs, l’épigénétique serait par ailleurs régulable grâce à divers mécanismes, notamment la nutrition.

Quels liens entre nutrition et épigénétique ? Quel rapport avec l’âge ? Cette approche permettrait-elle de “mieux vieillir” ?

Épigénétique et vieillissement

ge épigénétique et âge chronologique

Si nous envisageons toutes et tous notre âge en nombres d’années depuis notre naissance, force est de constater que nous ne vieillissons pas à la même vitesse.

Pour rendre compte de ce phénomène, un marqueur génétique est aujourd’hui retenu par la communauté scientifique : le nombre de sites de méthylation dans notre génome.

Il semblerait en effet que c’est en “méthylant” certains segments de notre code génétique (c’est-à-dire en les modifiant avec un groupe méthyle : 1 atome de carbone pour 3 atomes d’hydrogène) que l’expression des gènes qui s’y trouvent peut varier.

En d’autres termes, il est possible “d’allumer” et “d’éteindre”, en quelque sorte, certains gènes.

Cela signifie également que les symptômes de maladies chroniques dont les gènes sont présents dans notre patrimoine génétique, pourraient être évités si l’on était capables de réguler cette méthylation, c’est-à-dire cette activation.

Activer l'expression des gènes : pourquoi et comment ?

En effet, pour prédire voire prévenir l’apparition de maladies telles que Parkinson, Alzheimer et bien d’autres, l’épigénétique se révélerait extrêmement utile.

Si l’on définissait “mieux vieillir” comme étant la “capacité à vieillir sans maladie chronique sérieuse altérant de façon notable la vitalité et la mobilité”, alors l’épigénétique se révélerait être un outil puissant.

Ce serait quoi alors "mieux vieillir" ?

Toutefois, ne peut-on pas envisager une approche du “mieux vieillir” plus proactive ? Au-delà de la prédiction et de la prévention de maladies chroniques graves, ne serait-il pas possible d’améliorer la qualité de vie déjà acquise au cours du processus de vieillissement et de la pérenniser dans une certaine mesure ?

C’est la question à laquelle répond la récente étude¹ publiée en 2021 par l’équipe de recherche de Kara N. Fitzgerald.

Les conséquences épigénétiques positives d'une routine santé bien pensée

Dans le prolongement des recherches de Steve Horvath², ouvrant la voie au concept “d’horloge épigénétique”, les découvertes de Fitzgerald permettent d’améliorer la compréhension de l’épigénétique de l’âge.

Ses recherches de 2021 suggèrent que le processus de vieillissement pourrait être ralenti dès 8 semaines en contrôlant :

Le cadre de vie semble avoir un effet direct sur la façon dont l’expression de l’ADN évolue avec l’âge, ce qui permettrait de réguler la façon dont l’on vieillit.

Comme le rappelle Fitzgerald dans sa publication, il est nécessaire de conduire des études plus approfondies afin d’évaluer dans quelles mesures les facteurs d’une bonne qualité de vie permettent de ralentir le vieillissement et d’en améliorer les conditions.

En d’autres termes, il reste nécessaire de déterminer les poids respectifs du sommeil, de l’exercice physique, de la relaxation et de la nutrition dans l’efficacité d’une routine santé permettant de mieux vieillir.

Nutrigénomique : quand la nutrition a son mot à dire sur votre vieillissement

Pour le déterminer, la communauté scientifique internationale a développé un secteur de recherche spécifique : la nutrigénomique.

Branche de la génomique nutritionnelle (discipline étudiant les liens entre génome, nutrition et santé), cette discipline cherche à comprendre à l’échelle moléculaire les effets des nutriments que nous consommons sur l’expression de nos gènes.

Cette approche propose donc une nouvelle voie d’optimisation de l’alimentation, permettant d’envisager sur le long terme une compréhension fine de l’impact de ce que nous mangeons et la possibilité de créer des régimes sur-mesure afin de prévenir l’apparition de certaines maladies chez chaque individu.

Limites de la médecine actuelle et potentiel de la nutrigénomique face aux maladies liées au vieillissement

Comme le conclut Gabriela Riscuta dans la publication de ses recherches³ en octobre 2016, des pistes prometteuses en la matière restent inexplorées et requièrent plus de recherches afin d’évaluer dans quelle proportion le contrôle de la nutrition peut permettre d’améliorer l’espérance de vie, limiter l’apparition de cancers et ralentir le processus de vieillissement.

La nutricosmétique : une approche bien réelle et éprouvée pour accompagner le vieillissement

En attendant la prochaine percée scientifique dans ce domaine, la nutricosmétique propose des solutions offrant d’accompagner l’organisme vers un certain “mieux vieillir” telle qu’on pourrait l’envisager dans le cadre de la nutrigénomique, autrement dit : vieillir normalement en évitant l’apparition de maladies chroniques.

Recourant à des principes actifs tels que l’acide hyaluronique, le collagène ou encore les céramides, les compléments alimentaires offrent des résultats variables suivant les marques, ce qui demande donc une certaine attention dans le choix de votre cocktail de nutrition.

MyCollagenLift : quand la nutricosmétique vous propose d'accompagner votre vieillissement

C’est notamment ce qui explique que le cocktail imaginé par MyPUREskin ne renferme que des ingrédients à l’origine 100% naturelle. Sélectionnés en outre pour fonctionner en synergie, les principes de MyCollagenLift vous accompagnent dans le processus de vieillissement au travers d’une triple action visant à :

La nutrition et la stimulation de votre peau est assurée par :

Dans le même temps, la contribution aux mécanismes de défense naturels de votre épiderme et de votre derme face au stress oxydatif se retrouve dans :

Si l’épigénétique ne permet pas encore de prédire et de contrôler le processus de sénescence, il reste possible d’aider votre organisme à se protéger face aux facteurs de vieillissement prématuré en commençant une cure de MyCollagenLift sur 3 mois. Contribuant au fonctionnement normal d’une peau en bonne santé, ce complément alimentaire vous offrira des résultats progressifs dès 4 semaines d’utilisation.

  1. Etude de Kara N. Fitzgerald sur la possible inversion de l’âge épigénétique par un changement de nutrition et de cadre de vie : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8064200/
  2. Recherches de Steve Horvath introduisant le concept de “l’horloge épigénétique” : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24138928/
  3. Etude de Gabriela Riscuta sur le potentiel de la nutrigénomique dans l’accompagnement du processus de vieillissement, l’amélioration de l’espérance de vie et la prévention du cancer : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5037878/